La Convention pour une République écologique a pour objectif de contribuer aux changements politiques et institutionnels nécessaires pour que la France intègre l’écologie politique sous ses différents aspects, environnementaux, sociaux, économiques et démocratiques, dans l’ensemble de ses politiques publiques.
Cela établit un concept de République écologique qui se dote de tous les moyens juridiques, organisationnels, financiers, d’action permettant d’impulser cette dynamique. Il a été portée pendant la primaire d’EELV par Cécile Duflot qui, à la surprise générale, a été défaite dès le premier tour. Il a été repris dans le programme présenté, le 5 janvier, par Yannick Jadot, qui l’a emporté début novembre. Le candidat d’EELV entend ainsi “modifier la Consitution pour que dans l’article premier soit inscrit ‘République écologique’ afin de constitutionnaliser l’écologie.
Référent de la Convention pour une République Ecologique

Yves Contassot
Il a adhèré au parti écologiste Les Verts en 1993.
Tête de liste des Verts dans le 3e arrondissement de Paris lors des élections municipales de 1995, il recueille 9 % des suffrages et devient adjoint au maire du 3e arrondissement chargé du logement, de l’urbanisme, de l’environnement et des espaces verts3.
De 2001 – 2008, il es adjoint au maire de Paris chargé de l’environnement
Dès 2003; il promeut Autolib’, un service public d’autopartage de voitures électriques en libre-service disponible dans l’agglomération parisienne.
Dans le cadre de sa délégation, Yves Contassot a impulsé la politique des jardins et de la protection de l’environnement à Paris : création de trente hectares d’espaces verts, création des jardins partagés (programme Main Verte), généralisation de la collecte sélective des déchets…[réf. souhaitée] La ville a aussi lancé un plan de lutte contre le réchauffement climatique (plan climat)12 ainsi qu’un Agenda 21 local, programme d’actions qui vise à faire converger les objectifs sociaux, économiques et environnementaux[réf. souhaitée].
Sa candidature à l’investiture des Verts pour l’élection présidentielle française de 2007 n’est pas retenue par son courant qui lui préfère celle de Cécile Duflot (60 % des voix contre 40 %)15. Pendant l’Assemblée générale de 2006, il signe la motion « Écologie populaire » qui souhaite la candidature de José Bové et un accord électoral avec le PS non lié à un accord programmatique16.
Le 21 avril 2008 le conseil de Paris le désigne comme administrateur de la Société d’économie mixte de la Ville de Paris chargée de la construction et de la gestion des parkings, puis le conseil d’administration de la SAEMES l’élit à la présidence pour six ans le 13 mai9,21 où il succède à Denis Baupin.
En juin 2008, il fait partie des premiers signataires de l’appel du journal Politis appelant à créer en France une force comparable à Die Linke en Allemagne qui conjugue urgence sociale, urgence écologique et urgence démocratique.
En juin 2013, il est désigné par les militant-es d’Europe Écologie Les Verts comme co-tête de liste pour l’élection municipale de 2014 dans le 13e arrondissement de Paris, aux côtés de Marie Atallah
À l’issue de l’élection municipale de mars 2014, il est de nouveau réélu conseiller de Paris et nommé président de l’APC qu’il a proposé de créer en 2007, lors de l’adoption du premier plan climat de Paris.
Il siège également au sein de la métropole du Grand Paris où il préside le groupe écologistes et citoyens.